Ce soir en montant ma tente, je suis « parti ». Je me redresse après avoir enfoncé le piquet. Vertige. Je ne sais plus où je suis. Le bruit d’une tondeuse au loin me rappelle le camping. Je suis là. Debout.
Cette longue étape a débuté par une rosée malvenue. Une grosse condensation a mouillé l’intérieur de ma tente et je dois patienter que les premiers rayons de soleil la sèche. Las, c’est mouillée que je la range dans son sac.
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